En ce premier soir du couvre-feu, du moins pour les français citadins qui ont la « chance » d’habiter en ville, notamment Paris la ville lumière avec sa plus belle avenue au monde, ou si vous préférez le confinement nocturne déguisé, je vous propose d’écouter un petit morceau d’easy listening, info ci-dessous.
Ainsi les travailleurs/salariés du jour vont pourvoir rentrer directement chez eux se coucher (le fameux métro/boulot/dodo) et les jeunes seront privés de sorties, car ils ne sont pas sage. Pour ce qui concerne le monde du spectacle vivant (qui sert d’évasion pour le salarier et l’étudiant – on peut y rajouter toutes personnes vivant sur terre, qui s’intéresse au minima à la culture), et bien il ferme sa gueule et il se démerde pour payer ses factures et pour montrer sa nouvelle création. A oui, on lui offre « de se réinventer ». Ou mieux, comme le sugère le gouvernement britannique « Changez de métier ! ».
Un mot que je déteste, qui circule actuellement sur le net est le mot « livestreams » (on dirait le titre d’un morceau d’Eurythmics). Même Paul Weller (Ex Jam et Style Council) s’y est mi.
Pour moi un live, ce n’est pas virtuel. Désolé. Bref elle n’est pas belle la vie en ce 17 octobre 2020 ?
Pour malgré tout prendre la vie du jour et de la nuit du bon côté, rien de tel qu’un bon morceau d’easy listening qui servait pour la promotion des cigarillos de la marque Dannemann. Ce disque hors commerce est sorti en 45t en 1972.
Ce morceau est disponible sur la compilation Popshopping 2, More music from german commercials 1962-1977 (Crippled dick hot wax !) 2002
https://www.discogs.com/Various-Popshopping-2/release/806867
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