Depuis 2012, l’artiste et vidéaste de Los Angeles Vinyl Williams, publie des albums à intervalles réguliers. Vinyl Williams compose une musique pop
céleste bien loin des tracas du globe terrestre et des défaillances de l’Homme.
Avec des pochettes d’albums stylés
psyché, qui sont tous dans le même esprit, soit un monde "visionnaire", "mystique" rêvé, qui trouve
son nom sur le 6ème long format avec le titre de Cosmopolis. Son monde coloré
est une bulle qui permet de nous évader. Visitez son site internet, regardez
ses clips, vous ne serez pas déçu, sauf si l’abus de couleurs psychédéliques
vous effraies. Petit-fils du célèbre compositeur de musiques de films, John Williams, Vinyl (son prénom sur terre est Lionel) ne fait pas dans le symphonique, mais dans la sunshine/dream
pop aérienne, avec des guitares cristallines à foison, des notes de synthétiseurs cotonneux qui nous téléportent vers la fin des sixties sous une pluie de
champignons hallucinogènes. Sa voix est aussi légère que sa musique, dont les
arrangements psyché pop sont d’une beauté digne des passages visuels du film L’Enfer
d’Henri-Georges Clouzot, où l’on voit
des effets inspirés de l’art cinétique de Vasarely.
On est ici dans l’esprit de groupes et artistes tels que Morgan Delt (avec lequel Vinyl
à travaillé), Temples, Elephant Stone, Holy Wave, Triptides, Melody’s Echo Chamber. Ce nouvel album
reste dans la continuité des précédents albums. On ne va pas s’en plaindre,
tant on se sent bien dans la musique psyché pop aérienne de Vinyl Williams. Il
a créé son monde parallèle pour le bien être des Hommes et Femmes qui n’aiment pas la violence. "Peace and love" sans LSD, pour l’éternité
sur terre et dans l’espace cosmique.
Chronique de l’album Azure ici : https://paskallarsen.blogspot.com/2020/07/vinyl-williams-azure-requiem-pour-un.html
https://vinylwilliams.bandcamp.com/
https://www.facebook.com/vinylwilliams
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