vendredi 18 juin 2021

DIABOLIKZINE N°8 – Juin 2021


DIABOLIKZINE est un fanzine consacré en grande partie au cinéma bis italien, sauf pour le n°4 consacré à la Blaxploitation. Créé en 2006 par Roberto Tobias, seule maitre à bords, DIABOLIKZINE a une parution très irrégulière. Le n° 7 est sortie en décembre 2014 et après 7 ans d’absence papier (par contre il y a un blog), voici le n°8 disponible dans quelques boutiques, style Métaluna Store à Paris et sur le blog du zine.

Le n°8 contient 158 pages en couleurs richement illustré, avec au sommaire le réalisateur Osvaldo Cvirani : Hercule contre les fils du soleil (1964), Opération Poker (1965), Le Retour de Django (1967). L’acteur cowboy spaghetti Gianni Garko : Django ne prie pas (1968), Sartana (1969), Le Fossoyeur (1969), Quand les colts fument, on l’appelle cimetière (1971). L’acteur mafia et tueur Henry Silva : Passeport pour 2 tueurs (1972), L’insolent (1973), Le Boss (1973), La rançon de la peur (1974), Assaut sur la ville (1977). L’acteur musclé no nuke Mark Gregory : Les guerriers du Bronx (1982), Tonnerre (1983), Delta Force commando (1988). Le producteur Fabrizio De Angelis : Autorisé à tuer (1984), Commando Cobra (1986), Karate Warrior (1987), Killer crocodile (1989), Karate rock (1990). Le compositeur anglais de BOF Roy Budd : La loi du milieu (1971), 6 minutes pour mourir (1972), Le cercle noir (1973), Contre une poignée de diamants (1974), Crime à distance (1974). Un hommage à l’acteur anglais Roger Moore (1927-2017) : Double Jeu (1969), Gold (1974), L’exécuteur (1976), Bons baisers d’Athènes (1979), La machination (1984). Le producteur anglais Euan Lloyd (1921-2016) : Genghis Khan (1965), Opération Opium (1966), Shalako (1968). Un long article sur le cinéma de guerre italien "Macaroni War" : Les chiens verts du désert (1967), La gloire des canailles (1967), Commando suicide (1969), La légion des damnés (1969). 


Chaque article est rédigé avec une présentation, suivi de longues chroniques des films choisie dans la filmographie du réalisateur, acteur et producteur évoqué dans l’article. Chaque chronique de film (tous les titres ci-dessus en font partie) est richement illustré par les jaquettes vidéo, affiches, affichettes, photos d’exploitation, le tout avec les dates de sorties, nombre d’entrées et un extrait d’une chronique sortie dans la presse de l’époque. Un des atouts dans le choix des films chroniqués, c’est qu’en grande partie on peut les trouver en vidéo, on n’est pas dans de l’obscur totalement invisible. Ce numéro étant réalisé par un fan, ici la rédaction des textes et de la mise en page, c’est du sérieux, de l’érudite tout terrain, bref le lecteur, amateur du support papier en aura pour son argent.

Le n°8 est limité à 200 exemplaires et coute 18 euros en boutique.

https://diabolikzine.wordpress.com/




1 commentaire:

  1. Un grand merci pour la chronique du n°8 qui a pris beaucoup de retard
    J'espère mettre moins de temps pour le n°9

    RépondreSupprimer