Un des mots les plus utilisés en 2020 est « cluster ». A l’approche des fêtes de fin d’année et ses potentiels « cluster » en famille ou avec des amis, un dinée à l’Elysée qui s’est transformé en « cluster », le mieux est encore d’écouter en toute sérénité la musique du groupe allemand Cluster. Dans les années 70, les films d’anticipation avait la cote (Soleil Vert de Richard Fleischer, Silent Running de Douglas Trumbull, Le Survivant de Boris Sagal, Phase V de Saul Bass, Les Evadés de la Planète des Singes de Don Taylor, Mondwest de Michael Crichton, Solaris d’Andrei Tarkovski), coté musique on va juste s’arrêter à Cluster. Formé en 1971 par les multi- instrumentistes Diester Moebus (1944-2015) et Hans-Joachim Roedelius, Cluster fait partie des pionniers de la musique électronique jusqu’à être visionnaire avec leur nom qui évoque le virus, le sujet moteur de l’année 2020. A la question, « combien de vagues en 2021 avant de pouvoir sortir de chez soi sans les masques ? », c'est une question sans réponse, vu qu’on parle à Londres de mutation du virus. En attendant une solution, je vous propose d’écouter confortablement installé chez vous, deux extraits du 3ème album Zuckerzeit (1974) produit par Cluster et Michael Rother, ex Kraftwerk, NEU ! et Harmonia. A noter la réédition des albums solo de Michael Rother sous forme de coffrets Solo et Solo II.
http://www.bureau-b.com/cluster.php
https://www.discogs.com/fr/artist/40226-Cluster
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