Né en 2014, GUM est le projet de Jay Watson, membre des groupes Tame Impala et Pond. En septembre 2023, il publiera son 6ème album titré Saturnia. En 2023, la musique GUM est une fusion de psyché funk solaire, aux envolés aériennes. On pense un peu à Jonathan Wilson, période Rare Birds (2018), pour l’art de composer des mélodies à l’ambiance fin 70-début 80. Il y a aussi un peu de Prince, de 10cc. Le kitsch dans les textures mélodiques n’est pas loin. On imagine, cheveux au vent, Jay Watson jouer avec une guitare clavier, summum de l’élégance du chevalier sans peur des temps moderne. Avec GUM, Jay Walton est un homme libre qui s’amuse à mettre en musique tout ce qu’il aime, sans limite de style. Avec GUM, pas besoin d’avoir l’aval des autres partenaires, si l’idée est en place, il trouvera sa résonnance sur l’album, que cela soit des ballades d’été pour faire une heureuse rencontre (Race To The Air, Would it Pain You To See, Real Life), du rock fusion interlude (Muscle Memory), le tube à écouter en famille (Argentina), du psyché pop solaire (Fear of Joy), la ballade au coin du feu (Music is Bigger Than Hair)… et ainsi de suite. Résultat des courses le 15 septembre sur le label Spinning Top Records, distribution Modulor.
Ci-dessous le texte de présentation de l’album extrait du dossier de presse Modulor/Spinning Top records :
"Au cours des cinq albums de GUM, sans parler des neuf qu'il a réalisés en tant que co-leader des psych cosmonautes de Pond, l'imagination agitée de Watson nous a offert quelques-unes des explorations sonores les plus diverses de la dernière décennie. Sur Saturnia, ces visions se sont rassemblées dans l'œuvre la plus riche de la carrière de Watson à ce jour. L'un des aspects les plus agréables de l'écoute d'un nouvel album de GUM est la capacité de Jay Watson à réaliser d'alléchants "what-ifs" musicaux. Ne serait-ce pas génial si Stevie Wonder avait enregistré un morceau de hair metal, ou si Barry White avait composé un album de Pink Floyd ?
Après la sortie de Out In The World en 2020, Watson avait une idée assez vague de la direction que GUM devait prendre. « Je voulais vraiment faire un album qui sonnerait de façon homogène », se souvient-il. « Avec des sons différents, mais je voulais qu’il soit organique, avec des guitares acoustique et une vrais batterie. » La plupart des albums de GUM comporte plutôt des samples ou batteries programmées. La colle qui maintient Saturnia cohérent, et ce qui l’encre, c’est cette base de sons organiques que Watson visait.
La pandémie et la logistique nécessaire pour s'occuper de ses deux enfants en bas âge ont permis aux chansons que Watson avait commencé à écrire de bénéficier d'un temps sans précédent pour s’épanouir dans sa tête, et elles ont lentement commencé à fermenter et à pousser de nouvelles vrilles. « Avec le Covid et du fait de l’arrivée de mon nouvel enfant, pour la première fois, j'écrivais des chansons en prenant le temps de les peaufiner pendant des mois », explique-t-il. L'un des aspects les plus gratifiants de Saturnia est la façon dont les chansons pivotent et changent de façon inattendue tout au long de l'album, émergeant d’un point avant de s’envoler vers une stratosphère complètement différente.
Cette fois-ci, Watson a compris qu'il fallait parfois renoncer à une idée géniale au profit de la chanson. Ses idées initiales ne se sont peut-être pas déroulées tout à fait comme prévu, mais le résultat n'en est que meilleur !".
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