Becca Mancari est une artiste
américaine qui vit actuellement à Nashville, après avoir vécu à New-York. Donc
changement de décors, et malgré la résonance que nous évoque Nashville, Becca Mancari ne s’est pas mise à
composer de la musique country, mais un heureux mélange de folk et d’électro
trip hop, avec des mélodies cotonneuses à donner des petits frissons dans le dos,
et surtout sa voix aérienne qui nous caresses de son velours boisé, avec par
moment des petits écarts bien dosé vers le son coquin FM (Like This) et danse (Lonely
Boys). Dans la bio, Becca Mancari explique
bien son état d’esprit pour aborder son deuxième album : « Ce disque a été la chose la plus difficile que
j’ai jamais eu à écrire, en même temps,
c’était aussi le plus libérateur. » Comme expliqué dans la bio, « cette
dichotomie, cette friction entre le chagrin et la joie, la douleur et le
pardon, le chagrin et la libération, qui se trouve au cœur de The Greatest Part » explique bien l’ambiance
des 12 morceaux, qui alternent entre la lumière et la nuit, les états d’âme de l’artiste,
entre la mélancolie et l’envie d’aller faire la fête. Le mélange de ses états d’âme
est bien agencé par la production Zac Ferro (batteur de Paramone), qui a bien
compris ce que voulais dévoiler Becca
Mancari, une nouvelle citadine installé à Nashville.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire