Alors que
nous traversons (avons ?) une période étrange, qu’il faut se réinventer
(sic), il y a entre-autre un secteur qui a été et est encore, très touché par
le « con » et déconfinement, c’est le secteur du spectacle, qui ne
fais pas parti selon les dires du premier ministre, de la liste des « secteurs
de première nécessité ». Pour l’instant une grande partie de ce secteur
est en berne, notamment celui des concerts. Et vu les règles sanitaires à
respecter, ce n’est pas tout de suite que l’on va aller voir un concert dans
notre temps de liberté et de loisir, comme c’était le cas dans le soi-disant « monde
d’avant ». Et ce n’est pas en regardant des DVD live, Youtube et diverses
initiatives live sur les réseaux sociaux (même si c’est mieux que rien, comme
par exemple le Crossroads Confined
Countdown festival jusqu’au 29 juin 2020 (1)) qui vont nous donner le moral en
attendant d’assister au vrai live des artistes. Dans un premier temps, on va
espérer qu’à la rentrée, les concerts rock vont reprendre petit à petit et
ainsi voir (dans mon cas) pour la première fois le groupe Sparks qui est prévu au Casino de Paris le 20 octobre 2020.
Je profite
de ce mot d’introduction, pour sortir de mes archives un texte que j’avais mi
en ligne sur foutraque.com, sur un sujet d’un autre temps (que les jeunes de moins
de 20 ans n’ont pas connus), c’est le joli billet de concert qui ouvrait le
sésame pour assister à la performance live de l’artiste. Aujourd’hui pour
entrer dans une salle, on scanne soit sur le téléphone portable (notre belle
époque) ou sur une impression papier. Mais il reste malgré tout le billet en
papier que l’on peut acheter à la Fnac, mais il est quelconque.
Enfin petit
nota, ce sujet qui était pendant de nombreuses années en Edito sur
foutraque.com, avait perdu tous ses visuels, soit un comble pour ce type de
sujet, ainsi sur mon blog, il retrouve sa mise en page d’origine.
Quand on est
un passionné de concerts, et qu’en plus si on est fétichiste du billet d’entrée,
notamment pour garder un souvenir, on regrette le temps (fini il y a 25 ans) où les
billets de concerts étaient cools. Le visuel du billet reprenait le graphisme
du nom du groupe, reprenait la pochette de l’album en cours ou mettait une
photo du groupe. Ces billets étaient très jolis ! On allait chez notre
disquaire les acheter car il n’y avait pas de frais de com et ils étaient nettement plus jolis que les contremarques Fnac. Le disquaire
sortait son bloc de billets et il arrachait le droit d’accès au concert (le
sésame !) en suivant la découpe du talon. A cette époque il n’y avait pas de
code barre pour le contrôle d’entrée, c’était un gaufrage qui était incrusté
dans le papier, pour éviter les photocopies couleurs frauduleuses.
Malheureusement depuis 1995, cela a changé. Avec l’aire de l’informatique, tous les billets sont identiques, il n’y a que le nom de l’artiste qui change. Et aujourd’hui, encore mieux, on imprime chez soi le billet que l’on a téléchargé sur Digitick.
En souvenir des jolis billets de concerts, voici une petite sélection de ma collection, collés dans des albums par ordre chronologique.
Malheureusement depuis 1995, cela a changé. Avec l’aire de l’informatique, tous les billets sont identiques, il n’y a que le nom de l’artiste qui change. Et aujourd’hui, encore mieux, on imprime chez soi le billet que l’on a téléchargé sur Digitick.
En souvenir des jolis billets de concerts, voici une petite sélection de ma collection, collés dans des albums par ordre chronologique.